Mercredi nous avons pris le bus pour aller à Yaoundé … quel périple ! Un mini-bus, tous collés les uns aux autres, même pas la place de se tenir correctement assis. Et les contrôles de police ! A chaque fois il fallait descendre du bus, qu’ils contrôlent chacun d’entre nous … ha la la … On est arrivé en milieu d’après-midi à la capitale. L’air est bien plus respirable qu’à Douala, moins lourd, moins moite.
Nous avons été très bien reçu chez mon autre belle-sœur, à 16h nous avons mangé : crudités (tomates, carottes, salade, œuf dur) puis bananes plantains, riz et poulet avec une trèsbonne sauce à base de tomates et condiments. Etant donné que nous n’avions pas mangé à midi cause bus, je me suis fait plaisir. J’ai donc fait la connaissance de mon beau-frère ainsi que mes 4 neveux et nièces à qui j’avais apporté des livres, des stylos, des cahiers de coloriage, des feutres …. Ils étaient si contents, ça m’a fait plaisir.
Ensuite nous sommes allés chez le cousin : une superbe maison, hallucinant ! Et là, une fois de plus nous avons été reçus comme des princes. Et attention, surprise, on passe encore à table ! Je croyais que le repas qu’on avait fait avant servait de déjeuner et de diner, mais non ! Je ne pensais pas avoir encore faim et je me disais que je ne pourrais pas manger à nouveau mais une fois les plats sur la table … hummm ça sent trop bon, je ne peux pas résister ! Nous avons des bananes (plantains je ne préciserai plus) du poulet, du bœuf, des haricots verts et carottes, une sauce trop bonne à base de condiments mixés, le tout accompagné d’un très bon vin de Bordeaux ; pour le dessert, ananas frais. Je peux dire que je me régale vraiment depuis mon arrivée, ne serai-ce qu’avec les fruits : les mangues et les bananes (fruit) ont une saveur incomparable !
Jeudi : départ pour Ebolowa et nouveau voyage épique en bus ! Le même mini bus, mal assis, c’est terrible, y’a qu’ici qu’on voit ça ! On arrive enfin après 5 contrôles d’identité (mais cette fois-ci sans sortir du bus) et surprise à notre arrivée il n’y a pas d’électricité ni d’eau depuis la veille. Alors permière soirée à la lueur des bougies et ça avait son charme.
J’ai donc rencontré mes beaux-parents : ils sont vraiment chaleureux, adorables … j’ai été très bien accueillie.
Nous avons été très bien reçu chez mon autre belle-sœur, à 16h nous avons mangé : crudités (tomates, carottes, salade, œuf dur) puis bananes plantains, riz et poulet avec une trèsbonne sauce à base de tomates et condiments. Etant donné que nous n’avions pas mangé à midi cause bus, je me suis fait plaisir. J’ai donc fait la connaissance de mon beau-frère ainsi que mes 4 neveux et nièces à qui j’avais apporté des livres, des stylos, des cahiers de coloriage, des feutres …. Ils étaient si contents, ça m’a fait plaisir.
Ensuite nous sommes allés chez le cousin : une superbe maison, hallucinant ! Et là, une fois de plus nous avons été reçus comme des princes. Et attention, surprise, on passe encore à table ! Je croyais que le repas qu’on avait fait avant servait de déjeuner et de diner, mais non ! Je ne pensais pas avoir encore faim et je me disais que je ne pourrais pas manger à nouveau mais une fois les plats sur la table … hummm ça sent trop bon, je ne peux pas résister ! Nous avons des bananes (plantains je ne préciserai plus) du poulet, du bœuf, des haricots verts et carottes, une sauce trop bonne à base de condiments mixés, le tout accompagné d’un très bon vin de Bordeaux ; pour le dessert, ananas frais. Je peux dire que je me régale vraiment depuis mon arrivée, ne serai-ce qu’avec les fruits : les mangues et les bananes (fruit) ont une saveur incomparable !
Jeudi : départ pour Ebolowa et nouveau voyage épique en bus ! Le même mini bus, mal assis, c’est terrible, y’a qu’ici qu’on voit ça ! On arrive enfin après 5 contrôles d’identité (mais cette fois-ci sans sortir du bus) et surprise à notre arrivée il n’y a pas d’électricité ni d’eau depuis la veille. Alors permière soirée à la lueur des bougies et ça avait son charme.
J’ai donc rencontré mes beaux-parents : ils sont vraiment chaleureux, adorables … j’ai été très bien accueillie.
Vendredi : petit dej pas commun pour moi : omelette avec des légumes et du pain. N’étant pas habituée à mangé salé ni autant le matin ça m’a fait bizarre. Mais bon, on fait avec, je m’habitue. En fait j’ai préféré ça aux spaghetti avec de la viande et de la sauce … j’avais le choix.
Le soir, j’en salive encore, je me suis régalée ! Riz, bananes, poulet avec sauce tomate mais aussi les haricots rouges trop bons, relevés à point et des beignets et du bâton de manioc ! Quel régal, je n’en reviens pas.
L’électricité est revenue, la soirée s’est déroulée à la lueur des néons et non plus des bougies. Les voisins sont venus me rencontrer et me souhaiter une « bonne arrivée ». J’ai même eu droit à un chant traditionnel des femmes pour me souhaiter la bienvenue : c’était très touchant et émouvant !
Encore donc une très bonne soirée et les souvenirs ne manqueront pas ! Je me sens bien ici avec toute la famille. Même si j’ai encore beaucoup de mal avec le dialecte, je fais des efforts pour tendre l’oreille et essayer de comprendre le sens de la conversation.
Même si je suis très loin de mon petit confort européen, je me sens bien, je ne sens pas de barrière entre la famille et moi, bien au contraire, ils m’ont très bien acceptée, très bien accueillie … je suis chanceuse. J’ai un mari en or, une famille en or qui fait tout pour que je me sente à l’aise.
Le soir, j’en salive encore, je me suis régalée ! Riz, bananes, poulet avec sauce tomate mais aussi les haricots rouges trop bons, relevés à point et des beignets et du bâton de manioc ! Quel régal, je n’en reviens pas.
L’électricité est revenue, la soirée s’est déroulée à la lueur des néons et non plus des bougies. Les voisins sont venus me rencontrer et me souhaiter une « bonne arrivée ». J’ai même eu droit à un chant traditionnel des femmes pour me souhaiter la bienvenue : c’était très touchant et émouvant !
Encore donc une très bonne soirée et les souvenirs ne manqueront pas ! Je me sens bien ici avec toute la famille. Même si j’ai encore beaucoup de mal avec le dialecte, je fais des efforts pour tendre l’oreille et essayer de comprendre le sens de la conversation.
Même si je suis très loin de mon petit confort européen, je me sens bien, je ne sens pas de barrière entre la famille et moi, bien au contraire, ils m’ont très bien acceptée, très bien accueillie … je suis chanceuse. J’ai un mari en or, une famille en or qui fait tout pour que je me sente à l’aise.
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